Archives du tag : Dette souveraine
Merkozy
Merkozy est un mot-valise formé par la fusion du nom du président de la République française Nicolas Sarkozy et de la chancelière allemande Angela Merkel. Cette contraction prit tout son sens lors de la crise des dettes souveraines, lorsque les dirigeants des deux économies les plus importantes de la zone euro durent aligner régulièrement leurs positions.
Marchés fixed income : volatilité des rendements des bons du Trésor US & Europe
Malgré une série de données macroéconomiques positives à l’approche de Noël, qui a envoyé les actions à la hausse, les rendements des obligations souveraines pour les économies les plus développées sont restés dans un territoire faible, avec les rendements des obligations 10 ans US et Allemandes en dessous de 2%. Une situation qui pourrait se prolonger sur les marchés ?
Problèmes économiques pour 2012 : dettes souveraines dans la zone Euro & injections de liquidité de la Banque Centrale Européenne
Si l’on jette un bref coup d’oeil à l’année 2011 et que l’on se demande quels sont les risques macroéconomiques pour l’année 2012, on risque d’être peu surpris. Le problème des dettes souveraines est-il réellement réglé ? Quid du soft landing en Chine ?
Croissance mondiale en 2012 : crise des dettes souveraines, ralentissement de la Chine et injections de liquidités
Les perspectives pour la croissance mondiale ne sont pas particulièrement bonnes, même si les indicateurs macroéconomiques s’améliorent, notamment aux Etats-Unis, où une croissance de 2% devrait être atteignable. Si l’économie japonaise continue elle aussi de se redresser, un même niveau de croissance pourrait être réalisé. Cependant, les perspectives pour la zone Euro ne sont pas aussi bonnes, même si l’on peut espérer que le flot continu de mauvaises nouvelles est déjà clairement anticipé par les marchés et qu’à moyen terme un Euro affaibli devrait également permettre de relancer les exportations, et donc la croissance de la zone. Les économies émergentes ont quant à elle dû contenir l’inflation, ce qui s’est traduit par une croissance plus faible que prévue. Néanmoins, si l’on observe ces économies à la lumière des standards de notre Histoire et qu’on les compare à nos économies développées, leurs taux de croissance sont toujours extrêmement forts. Enfin, la croissance chinoise semble décliner inexorablement vers un taux de 7.5% cette année ; atterrissage en douceur ou brutal, ce ralentissement est lui aussi déjà largement pris en compte par les analystes. Peut-on donc encore avoir des surprises quant à la Chine ?