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Michael Cavanagh rejoint Carlyle contre 39 M$
Jusqu’ici co-responsable de la banque d’investissement de JPMorgan, Michael Cavanagh a annoncé son départ pour la firme de Private Equity Carlyle. Ce transfert, comme l’annonce le dépôt réglementaire à la SEC, sera effectif à l’été 2014. M. Cavanagh percevra 7 M$ de salaire et bonus pour les trois premières années. Le reste de la compensation financière à l’arrivée proviendra des actions de JPMorgan qui se doivent d’être abandonnées par le dirigeant lors de son départ. Au total, Michael Cavanagh percevra 39 M$ pour rejoindre Carlyle la première année.
Morgan Stanley double la paie de son PDG
Une action revenue quasiment au sommet, un bénéfice net annuel en forte hausse, publié à 32,4 Md$ contre 26,1 Md$ pour l’exercice précédent, le PDG de Morgan Stanley a de quoi sourire en 2014, d’autant que la banque d’affaires a décidé d’augmenter ses émoluments. James Gorman recevra en effet une compensation de 12 M$ pour 2013. Ses revenus pourraient même se hisser jusqu’à 18 M$, sous la forme d’encouragements à long terme, si celui-ci parvient à atteindre une série d’objectifs, comme l’indique la firme dans ses déclarations réglementaires. 62% de ces revenus se feront sous la forme d’actions et 38% en espèces.
JPMorgan recrute Mark Alberici en tant que Responsable de la structuration sur dérivés actions
JPMorgan Chase & Co. vient de recruter Mark Alberici, lui confiant les rênes de la structuration sur dérivés actions, à New York. Il rapportera à Jason Spiggel, responsable des dérivés actions au sein de la banque américaine.
Mark Alberici a travaillé pendant 8 ans chez Merrill Lynch (devenue Bank of America Merrill Lynch en 2008), occupant successivement les fonctions de Risk manager, Trader sur dérivés de fonds, puis Responsable du trading et de la structuration sur dérivés de fonds.
Baleine de Londres
La « Baleine de Londres » était le surnom donné au trader londonien Bruno Iksil, accusé d’avoir fait perdre environ $6,2 milliards à la banque qui l’employait, JPMorgan Chase. Le surnom fait référence à l’énormité des positions prises par le trader sur des dérivés de crédit. Selon un rapport du Sénat américain, la taille du book de Bruno Iksil était de $157 milliards lorsque celui-ci fut stoppé, en mars 2012.