Archives du tag : A
AMD
Sur le marché des devises, le sigle « AMD » désigne le dram arménien.
ALL
Sur le marché des devises, le sigle « ALL » désigne le lek albanais.
AFN
Sur le marché des devises, le sigle « AFN » désigne l’afghani afghan.
AUD
Sur le marché des devises, le sigle « AUD » désigne le dollar australien.
Kenneth Arrow
Kenneth Arrow (1921) est un économiste américain, co-détenteur du Prix Nobel d’économie (1972) avec John Hicks. Il est l’un fondateurs de l’école néoclassique moderne.
Ses travaux ont eu un impact considérable sur ses contemporains. Trois contributions principales peuvent être distinguées au sein de son œuvre. L’une des contributions les plus connues est celle du théorème d’impossibilité (1951), où K. Arrow généralise le paradoxe de Condorcet en l’appliquant aux choix collectifs, démontrant qu’il n’existe pas de fonction de choix social indiscutable. En 1954, l’auteur revisite, avec Gérard Debreu, la théorie de l’équilibre général de marché. En 1962, K. Arrow fait également office de précurseur en s’intéressant aux mécanismes d’apprentissage par la pratique, ce qui permettra de poser les bases de la théorie de la croissance endogène.
Parmi les principaux ouvrages de Kenneth Arrow :
• Social Choice and Individual Values (1951) ;
• Existence of an Equilibrium for a Competitive Economy (1954) ;
• Rational Choice Functions and Ordering (1959) ;
• The Economic Implications of Learning by Doing (1962).
Amir Samin
Amir Samin (1931) est un économiste égyptien, connu pour ses travaux autour de l’antimondialisme et de l’altermondialisme. La théorie de la dépendance, à laquelle il a grandement participé, dénonce les relations asymétriques prévalant à l’échelle mondiale, entre le « centre » dominant (les pays les plus riches) et la « périphérie » dominée (les pays du Tiers monde).
Parmi les principaux ouvrages de Samir Amin :
• L’impérialisme et le développement inégal (1976) ;
• Les enjeux stratégiques en Méditerranée (2000) ;
• Le virus libéral (2004) ;
• L’implosion du capitalisme contemporain (2012).
Avis d’opéré
Un avis d’opéré est un document, envoyé par une banque ou une institution financière à son client, récapitulant toutes les informations liées à l’exécution d’un ordre (titre, achat ou vente, quantité, prix, jour de la transaction, commissions, impôts, place de négociation, etc.). Cet ordre peut avoir été exécuté à la demande du client ou simplement pour son compte. L’avis d’opéré joue un rôle clé en cas de contestation.
Autocontrôle
L’autocontrôle est une situation survenant dans deux cas de figure. Soit directement, lorsqu’une société détient des actions de son propre capital, par exemple suite à un rachat d’actions. Soit indirectement, lorsqu’une première société détient des actions d’une seconde société, une filiale, qui possède elle-même certaines actions de la première société. Les actions d’autocontrôle, quoiqu’il arrive, sont privées de droit de vote. Elles peuvent servir plusieurs buts, l’un d’entre eux étant d’assécher la liquidité des titres et ainsi réduire le risque d’OPA. Les actions autocontrôlées ne peuvent, dans tous les cas, excéder 10% du capital social de la maison mère.
Approche directe
L’évaluation de la valeur financière d’une entreprise est essentielle pour tous les acteurs de l’économie. Elle permet aux investisseurs de prendre des décisions sur les ressources à allouer et elle oriente les dirigeants dans leurs objectifs de croissance. Pour estimer cette valeur, deux méthodes générales sont fréquemment employées : l’approche directe et l’approche indirecte.
L’approche directe consiste à valoriser les capitaux propres de l’entreprise, sans tenir compte de l’actif économique. Deux procédés sont alors possibles : actualiser les flux (dividendes) ou utiliser une méthode comparative (multiples tels que le bénéfice par action, etc.).
Approche indirecte
L’évaluation de la valeur financière d’une entreprise est essentielle pour tous les acteurs de l’économie. Elle permet aux investisseurs de prendre des décisions sur les ressources à allouer et elle oriente les dirigeants dans leurs objectifs de croissance. Pour estimer cette valeur, deux méthodes générales sont fréquemment employées : l’approche directe et l’approche indirecte.
L’approche indirecte consiste à valoriser les capitaux propres de l’entreprise, en tenant compte de l’actif économique et de l’endettement net. Deux procédés sont alors possibles : actualiser les flux (trésorerie) ou utiliser une méthode comparative (multiples tels que le résultat d’exploitation, etc.).
Ajustement du cours
Un Ajustement du cours d’une action a lieu lorsqu’une société modifie son capital social, en procédant par exemple à une augmentation de capital, à une distribution gratuite d’actions ou à un regroupement d’actions. Ce type d’opération va en effet faire varier le nombre d’actions en circulation, d’où une correction mécanique de la valeur de chaque titre. Les cours précédents sont alors ajustés, afin de refléter la décote/surcote et pouvoir comparer la situation présente à la situation passée.