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Doji dragon
En analyse technique, un « Doji dragon » désigne une figure particulière de chandelier japonais. Il s’agit en réalité d’une situation dans laquelle le cours d’ouverture et le cours de clôture, pour un sous-jacent et pour une période donnée (généralement, une journée), sont identiques et égaux au plus haut.
Selon le niveau d’ouverture et de fermeture, vis-à-vis du plus haut et du plus bas, le doji revêt différentes appellations (doji en croix, doji en porteur d’eau, doji en croix inversée, doji en pierre tombale, doji sans mèche).
Doji sans mèche
En analyse technique, un « Doji sans mèche » désigne une figure particulière de chandelier japonais. Il s’agit en réalité d’une situation dans laquelle le cours d’ouverture et le cours de clôture, pour un sous-jacent et pour une période donnée (généralement, une journée), sont identiques, sans qu’il n’y ait eu aucun mouvement sur la période.
Selon le niveau d’ouverture et de fermeture, vis-à-vis du plus haut et du plus bas, le doji revêt différentes appellations (doji en croix, doji en porteur d’eau, doji en croix inversée, doji en pierre tombale, doji dragon).
Doji en croix inversée
En analyse technique, un « Doji en croix inversée » désigne une figure particulière de chandelier japonais. Il s’agit en réalité d’une situation dans laquelle le cours d’ouverture et le cours de clôture, pour un sous-jacent et pour une période donnée (généralement, une journée), sont identiques et plus proches du plus bas que du plus haut.
Selon le niveau d’ouverture et de fermeture, vis-à-vis du plus haut et du plus bas, le doji revêt différentes appellations (doji en croix, doji en porteur d’eau, doji en pierre tombale, doji dragon, doji sans mèche).
Doji en pierre tombale
En analyse technique, un « Doji en pierre tombale » désigne une figure particulière de chandelier japonais. Il s’agit en réalité d’une situation dans laquelle le cours d’ouverture et le cours de clôture, pour un sous-jacent et pour une période donnée (généralement, une journée), sont identiques et égaux au plus bas.
Selon le niveau d’ouverture et de fermeture, vis-à-vis du plus haut et du plus bas, le doji revêt différentes appellations (doji en croix, doji en porteur d’eau, doji en croix inversée, doji dragon, doji sans mèche).
Doji en porteur d’eau
En analyse technique, un « Doji en porteur d’eau » désigne une figure particulière de chandelier japonais. Il s’agit en réalité d’une situation dans laquelle le cours d’ouverture et le cours de clôture, pour un sous-jacent et pour une période donnée (généralement, une journée), sont identiques et équidistants par rapport au plus haut et au plus bas.
Selon le niveau d’ouverture et de fermeture, vis-à-vis du plus haut et du plus bas, le doji revêt différentes appellations (doji en croix, doji en croix inversée, doji en pierre tombale, doji dragon, doji sans mèche).
Doji en croix
En analyse technique, un « Doji en croix » désigne une figure particulière de chandelier japonais. Il s’agit en réalité d’une situation dans laquelle le cours d’ouverture et le cours de clôture, pour un sous-jacent et pour une période donnée (généralement, une journée), sont identiques et plus proches du plus haut que du plus bas.
Selon le niveau d’ouverture et de fermeture, vis-à-vis du plus haut et du plus bas, le doji revêt différentes appellations (doji porteur d’eau, doji en croix inversée, doji en pierre tombale, doji dragon, doji sans mèche).
Doji
En analyse technique, un Doji désigne une figure particulière pour un chandelier japonais. Il s’agit en réalité d’une situation dans laquelle le cours d’ouverture et le cours de clôture, pour un sous-jacent et pour une période donnée (généralement, une journée), sont identiques. Un doji montre donc l’absence de tendance claire pour le sous-jacent.
Selon le niveau d’ouverture et de clôture, vis-à-vis du plus haut et du plus bas, le doji revêt différentes appellations (doji en croix, doji porteur d’eau, doji en croix inversée, doji en pierre tombale, doji dragon, doji sans mèche).
Chandelier japonais
Un Chandelier japonais est une représentation graphique de l’évolution du prix d’un sous-jacent au cours d’une période donnée, généralement un jour. Leur but est de donner, à travers une seule image, une idée de la variation du cours, du prix d’ouverture, du prix de clôture, du prix minimum affiché au cours de la séance ou de la période choisie, et du prix maximum atteint. Les chandeliers japonais sont de deux couleurs différentes, marquant chacune le sens de la variation (généralement blanche pour une hausse et noire pour une baisse).
Il s’agit d’une forme d’analyse graphique ancienne, déjà utilisée au Japon au XVIIème siècle. Ils sont souvent associés à Munehisa Honma, un courtier devenu riche grâce au commerce du riz. Ils ne furent popularisés en occident que dans les années 1990, suite aux publications de Steve Nison, ancien banquier chez Daiwa Securities.
Théorie des vagues d’Elliott
Dans les années 1930, Ralph Nelson Elliott a forgé la théorie des vagues d’Elliott, laissant entendre que les prix des actions évoluent selon une tendance marquée par des phases, ou vagues. En théorie, une hausse est composée de cinq vagues (dont trois vagues clairement à la hausse et deux vagues intermédiaires à la baisse), puis est suivie d’un déclin composé de trois vagues (dont deux vagues clairement à la baisse et une vague intermédiaire à la hausse).
Il s’agit d’une forme populaire d’analyse technique faisant ressortir la psychologie de l’investisseur sur les marchés financiers. Le rapprochement peut être facilement établi entre la théorie des vagues d’Elliott et les différents types de cycles de l’économie (cycles Kitchin, cycles Juglar, cycles Kuznets, cycles Kondratiev, cycles du porc, etc.). Le fait d’affirmer que les mouvements boursiers obéissent à des logiques cycliques prévisibles est en contradiction avec l’hypothèse d’efficience du marché.
Analyse technique
L’Analyse technique est une méthode d’évaluation consistant à prédire le cours futur d’actifs financiers à partir de données historiques, en particulier grâce aux prix passés et aux volumes de transactions. Le fait de penser que les performances historiques sont un indicateur fiable des performances à venir est une opposition forte à la théorie d’efficience des marchés, ce qui est à l’origine de nombreuses controverses entre professionnels des marchés. L’analyse technique tient cependant une place importante sur le marché des devises, où la Réserve Fédérale américaine lui a reconnu, en juillet 2000, un certain pouvoir prédictif.
Les chandeliers japonais, les indicateurs RSI, les moyennes mobiles, les vagues d’Elliott, les bandes de Bollinger ou les régressions sont autant d’outils et concepts, parmi tant d’autres, utilisés par les analystes techniques.