Archives de la catégorie : Citations
« Si vous voyez un banquier se jeter par la fenêtre, sautez derrière lui : vous pouvez être sûr qu’il y a quelque profit à prendre »
Trait d’esprit de François-Marie Arouet, dit Voltaire, à propos des banquiers.
« La finance est complètement différente du reste de l’économie »
Alan Greenspan, dans une interview accordée au Financial Times.
« Les Etats-Unis peuvent payer n’importe quelle dette étant donné qu’ils peuvent imprimer autant de billets qu’ils le souhaitent. Il n’y a donc aucune probabilité de défaut »
Alan Greenspan, dans une interview à NBC en 2011, souligne les pouvoirs de la fameuse planche à billets.
« La mondialisation avait un impact désinflationniste »
Alan Greenspan, dans The Age of Turbulence (2008), s’interroge sur l’influence de la mondialisation sur les prix.
« J’en suis venu à cette dure réalité : les excédents chroniques peuvent être aussi déstabilisateurs que les déficits chroniques »
Un excès de liquidité à l’origine de la crise des subprimes ? Alan Greenspan, dans The Age of Turbulence (2008) , revient sur la politique de taux d’intérêt menée par la FED sous son mandat.
« En général, nous ne parlions pas beaucoup des marchés boursiers à la FED »
Désintérêt ou volonté d’indépendance ? Alan Greenspan, dans The Age of Turbulence (2008) souligne à quel point les banquiers centraux sont parfois éloignés de la Bourse.
« Depuis que je suis devenu un banquier central, j’ai appris à marmonner dans une grande incohérence »
Boutade d’Alan Greenspan, président de la Réserve fédérale de 1987 à 2006, lors d’un comité sénatorial.
« La dépense budgétaire n’est qu’un plan destiné à confisquer les richesses »
Déclaration d’Alan Greenspan, dans Gold and Economic Freedom (1966).
« Le temps, c’est de l’argent »
Extrait d’« Avis à un jeune artisan » (Advice to a Young Tradesman, 1748).
Souviens-toi que le temps, c’est de l’argent. Celui qui, pouvant gagner dix shillings par jour en travaillant, se promène ou reste dans sa chambre à paresser la moitié du temps, bien que ses plaisirs, que sa paresse, ne lui coûtent que six pence, celui-là ne doit pas se borner à compter cette seule dépense. Il a dépensé en outre, jeté plutôt, cinq autres shillings.
« Si, à 50 ans, on n’a pas une Rolex, on a quand même raté sa vie »
Invité de l’émission Les 4 vérités sur France 2 en février 2009, notre publicitaire national était amené à s’exprimer sur le côté bling-bling, ostentatoire du Président Nicolas Sarkozy. Las de toujours répondre aux mêmes questions sur le penchant de celui-ci pour les montres de luxe, Jacques Séguéla avait fini par s’offusquer, qualifiant de telles questions d’« erreurs journalistiques ».
Avant d’ajouter « Comment peut-on reprocher à un Président de la République d’avoir une Rolex ? Une Rolex… Enfin, tout le monde a une Rolex », et de conclure « Si, à 50 ans, on n’a pas une Rolex, on a quand même raté sa vie ».
« Seul le gouvernement peut prendre du papier parfait, de l’encre parfaite, et faire de la combinaison des deux quelque chose d’obsolète »
Une pique assez habituelle à l’encontre du gouvernement, chez Milton Friedman.