Gnomes de Zurich
Les banquiers suisses sont parfois surnommé les « gnomes de Zurich ». Ce sobriquet met en avant leur supposé plaisir à travailler avec avidité sous le sceau du secret bancaire, sans morale ni états d’âme.
Le terme gagna en popularité lors de la crise de la livre Sterling en 1964 lorsque Harold Wilson, personnalité politique du parti travailliste, désigna de la sorte les banquiers suisses et les spéculateurs.